REYNDERS claironnait que le renversement était acquis ...

Je lui répond :

1/ Hélas je ne pense pas ...

2/ Il y a toujours autant d'avions au dessus de ma tête à GREZ

et donc tjs autant de bruit. Je ne vois aucun changement.

3/ Des clients venus d'Anvers s'étonnaient aujourd'hui du bruit des

avions dans nos campagnes ...

Verhofstad va lui répondre que le renversement est abandonné. Point. C'est le résultat  d'une négociation sur les moyens et non pas les résultats, sur la forme et non le fond...

Reynders connait maintenant l'état d'âme des survolés francophones en butte à des manipulations répétées d'un ministre fédéral qui se moque de ses pairs dans son propre gouvernement, qui se moque des gouvernements régionaux, qui se moque de son propre service de médiation, qui se moque des citoyens qu'il administre mais qui ne parlent pas sa langue, qui se moque des parlementaires, qui se moque des décisions de justice qui le dérangent, qui se moque du Conseil d'Etat, bref de la parfaite antithèse d'un démocrate.

Reynders doit défendre que les francophones ont épuisé leur réserve de patience avec un tel personnage et qu'une décision politique de rééquilibrage est devenue indispensable. Illo tempore, l'intervention autoritaire de Verhofstad contre Isabelle Durand avait été "justifiée" par des motifs beaucoup moins graves.

Onkelinkx doit évidemment appuyer sans réserve Reynders dans sa démarche.

Qu'attend la presse d'opinion francophone pour prendre position? La presse flamande fait beaucoup moins dans la dentelle quand il y a quelque chose à dire à un francophone fédéral.

Reynders et Onkelinx se montrent beaucoup trop absent du débat !

Ils sont pourtant parmi les seuls à pouvoir défendre l'intérêt des survolés

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