CHRISTOPHE SCHOUNE dans le Soir revient sur les propos insultant du [Ministre de l'Immobilité dans le dossier des nuisances aériennes, Renaat Landuyt (SP.A)]tenus en commission de l'Infrastructure, à la Chambre, [à l'égard du travail des journalistes ]traduisant[le fantasme « landuytien » d'une presse asservie à ses plans de vol électoraux qui épargnent la Flandre. Et reflètent à merveille une incapacité ministérielle avouée.]
Et le journaliste de continuer [Transparent, Landuyt ? On est bien en mal de se souvenir d'une conférence de presse organisée sur ce sujet explosif. On cherche en vain la trace d'une publicité de la dernière version du plan de dispersion aérienne auprès des riverains, comme l'exige une directive européenne. On s'interroge sur la sécurité des tracés fédéraux qui inquiètent les pilotes.]

Il reproche au Ministre son manque de courage, ses manipulations voire ses méfaits comme [le calvaire nocturne infligé aux riverains bruxellois et brabançons pour de triviales raisons communautaires.]

Le Ministre est fier de prendre des décisions mais a [problème de notoriété : on ne me connaît pas. »]
dit encore Christophe Schoune en citant le Ministre et de conclure [Sur ce point, on ne le démentira pas. Mais on ne dira pas non plus qu'il gagne à être connu, lui qui semble inspiré par ce vieux dicton chinois lorsqu'il confond le rôle des journaux qu'il aimerait si dociles : « Quand je montre la lune du doigt, l'idiot regarde mon doigt. » ]

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