Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)
 Bruit et pollution des avions    Chimie et substances nocives   Conférences, enquêtes, débats, plaidoiries et autres réunions d'informations   Elections communales 2006   Les actions en cours: ce que vous devez faire.   Les autres nouvelles   Trop de nuisances dans nos vies   Un petit accès d'humeur... 
TROP DE BRUIT ou comment lutter  contre (entre autres) les excès des avions en Brabant wallon.
Version  XML 
Pour vous aider

Archive : tous les articles


Conférences, enquêtes, débats, plaidoiries et autres réunions d'informations


Pour votre édification
A lire absolument: Qui est POUR, qui est CONTRE la dispersion?


Session
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


La dixième conférence de l'ONU sur le climat s'est ouverte hier à Buenos Aires.

--> Objectif: réduire de moitié les émissions de carbone d'ici à 2050.

Les milliers d'experts, de politiques et de lobbyistes sont réunis depuis hier à Buenos Aires (Argentine), pour discuter du climat de la planète. Un rendez-vous, le dixième du genre, fixé par la Convention des Nations unies sur le climat de 1992. Elle s'achèvera par un round de discussions à l'échelon ministériel du 15 au 17 décembre. Objectif officieux : préparer les difficiles discussions pour une stratégie à long terme de réduction de moitié des émissions de CO2 d'ici à 2050 . C'est la condition minimale pour contenir la hausse des températures à 2 °C maximum. Objectif à comparer aux dernières prévisions de l'Agence internationale de l'énergie, qui prévoit une hausse de la demande mondiale d'énergie de 60 % en vingt-cinq ans.

Optimisme. En dépit de ces sombres prévisions, et de la réélection de Bush à la présidence des Etats-Unis, hostiles à toute démarche multilatérale et au protocole conclu à Kyoto en 1997, la conférence de Buenos Aires s'ouvre sur une note plus optimiste que prévue. La Russie a, en effet, fini par ratifier le protocole le 18 novembre. Avec la Russie, les 55 pays signataires pèse désormais plus de 55 % du total des rejets de gaz à effet de serre des pays riches en 1990. Le texte aura donc force de loi dès le 16 février 2005. Ils acceptent de réduire de 5,2 % leurs émissions de gaz à effet de serre (gaz carbonique, méthane etc.) d'ici à 2012, sur la base des émissions en 1990.

Mise en bouche. Mais l'impact de Kyoto sera faible sur le réchauffement : au mieux quelques centièmes de degré en moins sur un coup de chaud qui, selon les climatologues, pourrait atteindre 5 °C voire 6 °C d'ici à 2100. Kyoto n'était en fait qu'un moyen pour les pays industrialisés et riches de reconnaître leur culpabilité dans le réchauffement constaté depuis la révolution industrielle. L'Australie et, surtout, les Etats-Unis refusent cette culpabilité, exigeant que les pays en développement soient eux aussi impliqués. La Maison Blanche n'hésite pas à nier certains aspects du réchauffement, et à taire les rapports officiels qui disent le contraire.

Plus sur : www.liberation.com
Ecrit par Cherche l'info, le Mardi 7 Décembre 2004, 18:11 dans la rubrique "Bruit et pollution des avions ".