Paul Hermant, dans sa chronique du matin sur la Première, a étendu le sujet de DHL à Leipzig, à la montée des extrêmes, à l'emploi en général
Un commentaire reçu de matin.
L'équipe de Trop de Bruit
Ce vendredi 24 septembre 2004, Paul Hermant, dans sa chronique du matin sur la Première, a étendu le sujet de DHL à Leipzig, à la montée des extrêmes, à l'emploi en général.
Ce n'est effectivement pas seulement le dossier d'une société de transport qui veut s'étendre. C'est le dossier de la Société et celui de la peur.
La peur de la délocalisation, la peur de perdre son emploi, emploi (re)devenu marchandise dans une Europe plus économique que sociale, plus consommatrice que solidaire.
La peur qui conduit à l'extrême et au repli.
La peur qui conduit les gouvernants à ne prendre aucune réelle décision en cherchant des compromis qui ne tiendront pas et dont les conséquences seront financées, par exemple, par la sécurité sociale.
Le peur qui tétanise et qui nous empêche de changer ou de réfléchir, surtout lorsqu'on fait miroiter des emplois (qui n'existeront au mieux que quelques années, le temps d'automatiser, au pire que sur papier).
Les uns et les autres perdrons-nous nos emplois au profit d'autres, qui les reperdront,... tout cela finalement financé par l'argent publique, dans une spirale... jusque quand?
G N
Ecrit par Cherche l'info, le Vendredi 24 Septembre 2004, 09:49 dans la rubrique "Bruit et pollution des avions ".
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