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Le commentateur n'a pas désiré laisser son identité.
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"Dans la quête d’un équilibre entre l’exploitation de l’aéroport
et les avantages économiques et sociaux qu’elle
offre d’une part, et les effets secondaires non-souhaités
du trafic aérien sur la santé des riverains des aéroports
d’autre part, les autorités ont plusieurs fois adapté les procédures
de vol au cours des années précédentes, en
essayant par-là d’offrir une réponse aux nombreuses, et
souvent contradictoires, questions des citoyens visant à
diminuer les nuisances sonores dans leur quartier. A cette
fin, les autorités ont essayé de limiter, et le nombre de
personnes touchées, et les nuisances pour chacune d’elles.
Malgré le fait que tant le nombre de personnes touchées
que les nuisances totales aient fortement diminué
ces dernières années, aussi bien grâce aux mesures prises
par les autorités, le renouvellement de la flotte que la
diminution du nombre de mouvements, il ne règne pas
chez les citoyens de sentiment d’approche équilibrée des
nuisances sonores par rapport aux avantages du trafic
aérien et par rapport aux concitoyens qui subissent aussi
des nuisances."
Voici un extrait édifiant du nouveau projet de loi du Ministre de la Mobilité. Donc, nous sommes tous, nous, qui n'avions jamais été survolés, des empêcheurs de tourner en rond qui se plaignent à tort des nuisances que nous subissons puisque c'est formcément pour le bien économique d'une région qui, elle, n'en veut plus de ces nuisances. Et en plus, je ne sais pas selon quels chiffres, il est décrété que le nombre de personnes survolées est moins importants qu'auparavant à l'époque où Bruxelles était moins survolée, que le Brabant Wallon de Chastre à Nivelles ne l'était pas du tout et qu'une partie des décollages et aterrissages survolaient des zones industrielles et agricoles !!!
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à 21:28